Une photo du satellite météorologique Suomi NPP de la NASA centrée sur la France et datant du vendredi 14 mars.
Ce jour a été choisi car il correspond au pic de particules fines (PM2.5) à 185mg/m3 alors que l'OMS considère que le seuil de danger est à 25 (et que Pékin a subi 800 en janvier).
Si vous lisez l'anglais, l'article explique pourquoi nous avons subi ce pic de pollution.
Si vous ne comprenez pas la langue de Boy George, c'est dû à une couche d'inversion, un phénomène où la température monte avec l'altitude, au lieu du contraire normalement.
Si vous ne parlez pas le patois d'angles, vous n'apprendrez pas que ce taux de particules fines (PM2.5) a décru de 50% en 20 ans et qu'il est du à 57% au secteur énergie (création et consommation), 20% au transport et 16% à l'industrie.
Dommage d'avoir pris Serbo-Croate en Langue 1...
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