Jeu : Hands of war TD

Vous ne savez pas quoi faire ce week-end ? J'ai trouvé pour vous.

Voici Hands of War TD, un tower defense médiéval-fantastique.

Les personnages sont tous petits et c'est fouilli, tout en anglais et pas très joli mais il y a quelques trucs intéressants.

Il y a douze types de tours à placer (magicien, guerrier, archer, récolteur d'or, etc...) et quatre pouvoirs spéciaux (bouger votre champion, exploser une zone, tout ça).

Le fait de pouvoir bouger votre champion qui est votre meilleur atout ajoute une petite touche rigolote.

Sinon, les fins de tours sont classiques, vous dépensez vos XP nouvellement gagnés et vous choisissez votre prochain combat.

Le coup bas

Avant, on pouvait se moquer du sens de la géographie des Zétazuniens... Et voilà, le 20h de TF1 vient de péter la blague. Enfoirés...

Jeu : Stellar Hunter 2

Voici un jeu qui semble français.

Vous pouvez d'ailleurs passer en langue bien de chez nous en arrivant sur le jeu.

Dans Stellar Hunter 2, vous devez ramasser des étoiles.

Pour cela, vous disposez d'une pelle et d'un balai.

Espace oblige, le balai est un aimant à étoiles et la pelle un attracteur d'astres.

Au long des 50 niveaux, vous gagnerez de l'expérience, ce qui augmentera la taille de votre pelle.

J'ai fais tous les niveaux à 100%, il ne s'est rien passé mais je suis relaxé.

Qui a ri? Pas mieux. Pas mieux.

Pon pon. Ouais ouais ouais. Ouais Ouais. Pon pon pon. Ca vous dit rien? rhôôôô.

Ben Kyary Pamyu Pamyu, l'interprète de ce chef d'oeuvre d'il y a des lustres (l'été dernier, pfiooouuuu, ça ne nous rajeunit pas tout ça), et dont une autobiographie est déjà sortie (faut dire qu'elle est née en 93, il est temps de s'y mettre) a sorti le morceau de la maturité le mois dernier, Tsukematsukeru.

Pour celles et ceux qui ont un souvenir ému du wtf de Baby Metal, ça devrait continuer de piquer les noeils et les noreilles. A regarder jusqu'au bout parce qu'il y a une évolution dans le délire. Pour les autres, fuyez! pauvres fous.

Tsukematsukeru :




Et pour référence, le clip de Ponponpon :




On sent bien l'évolution artistique et la sobriété qui vient avec la sagesse.

Jeu : Parfois défi nuageux

Le escape the room de la semaine.

Pour le titre, je ne sais pas, c'est comme ça que Google le traduit.

Je dois dire que j'ai bien aimé le côté confiné.

La blague du jour

Cliquez pour engrandir.

L'image est très grande alors ça risque de déconner un peu.
(source)

La machine botanique

Vous aimez les incredibles machines ?
Alors pour votre plus grand plaisir, la macchina Botanica à la Biennale de Venise.

Le tourne-page

Ca c'est une belle machine de Rube-Goldberg. En plus c'est pratique.

The Hobbit

Une version animée du Hobbit par Gene Deitch, le génie qui a sorti Tom et Jerry des années 40, présentée à New-York en 1966.

L'histoire de cette bouze racontée par Gene Deitch est assez intéressante :

En 1964, Bill Snyder, le producteur des studios Rembrandt avait négocié avec JRR Tolkien les droits du livre jusqu'en juin 1966.

Mais en 1966, la sortie en poche du Seigneur des anneaux fait que les droits pour Bilbo atteignent des sommes astronomiques.

Et le producteur réalise alors que si il sort son film avant la fin du mois, il conserve ses droits sur un projet qui peut rapporter des millions de dollars.

Il appelle donc le dessinateur et lui ordonne de réaliser à Prague un film vite fait mal fait et de le faire projeter avant le 30 juin 1966 à New-York soit 30 jours plus tard.

Ça explique la durée du film : 12 minutes soit une seule bobine 35mm, le film devant traverser l'Atlantique et coûter le moins cher possible.

Gene Deitch décide donc d'abandonner tout son premier travail et se limite à la vidéo que vous avez au-dessus, un film qui n'existe que pour faire de l'argent.

(source)(via)

Bicyclettes et parapluies

Petite devinette pour tout le monde (sauf Hercule parce qu'il triche).

À quoi sert ce dessin ?

Vous séchez ?

Il faut dire que c'est une version un peu évoluée de ceux que j'ai l'habitude de voir.

La réponse dans la suite...

Fonce, y a toujours pas de flic

Il semble que cet anglais a suivi à la lettre les recommandations d'un village du Gloucestershire.
Il a roulé prudemment lors de la traversée du village et n'est sorti de la route que lorsque la zone de prudence finissait.

(source)