Aujourd'hui, comme je m'embête, je vais vous parler du nombre de Dunbar.
Défini en 1993 par un anthropologue rosbif du doux nom de Robin Dunbar (qui doit signifier Robin des Bistrots en français), il s'agit du nombre maximal de personnes avec qui un humain peut maintenir des relations sociales.
Cette quantité, d'après Dunbar, serait limitée par la taille de notre néocortex (le truc dans le cerveau qui nous sert à parler, bouger, savoir où on est et ce qui nous entoure).
Dunbar n'a pas donné de chiffre précis mais on estime généralement ce nombre à 150.
Au-delà de 150 personnes, il faut passer à une structure hiérarchisée avec certaines personnes qui n'ont pas de relation sociale entre eux.
Pour trouver ce nombre, il a étudié des grands primates non-humains et remarqué que leurs groupes ne dépassent pas cette quantité.
Bon, les humains ont un énorme avantage, ils peuvent se parler, ce qui économise pas mal d'épouillages de tête et autre ouvertures de banane.
Dunbar estime dans son étude que sans le langage, nous passerions la moitié de notre temps à tisser des liens sociaux.
C'est le langage qui nous a permis d'inventer la plomberie ou la bière au lieu de passer notre temps à rassurer nos proches.
Ce chiffre qui n'avait strictement aucun intérêt il y a dix ans est devenu primordial pour toutes les applications de réseau social.
En effet, un programme qui veut révolutionner l'intraweb doit au moins permettre aux gens d'avoir le nombre de Dunbar en relations.
Après, qu'est-ce qu'on appelle avoir des relations sociales avec quelqu'un ?
Il y a quelques personnes que je reverrais avec plaisir mais avec qui je n'ai plus aucun contact depuis des années, ils ne sont plus dans mon cercle de primates.
Est-ce que Rocco Siffredi peut considérer ses 4000 partenaires comme faisant partie de sa monkeysphere ?
Suffit-il d'envoyer une carte de vœux une fois par an pour compter quelqu'un en ami proche ?
(source)
Défini en 1993 par un anthropologue rosbif du doux nom de Robin Dunbar (qui doit signifier Robin des Bistrots en français), il s'agit du nombre maximal de personnes avec qui un humain peut maintenir des relations sociales.
Cette quantité, d'après Dunbar, serait limitée par la taille de notre néocortex (le truc dans le cerveau qui nous sert à parler, bouger, savoir où on est et ce qui nous entoure).
Dunbar n'a pas donné de chiffre précis mais on estime généralement ce nombre à 150.
Au-delà de 150 personnes, il faut passer à une structure hiérarchisée avec certaines personnes qui n'ont pas de relation sociale entre eux.
Pour trouver ce nombre, il a étudié des grands primates non-humains et remarqué que leurs groupes ne dépassent pas cette quantité.
Bon, les humains ont un énorme avantage, ils peuvent se parler, ce qui économise pas mal d'épouillages de tête et autre ouvertures de banane.
Dunbar estime dans son étude que sans le langage, nous passerions la moitié de notre temps à tisser des liens sociaux.
C'est le langage qui nous a permis d'inventer la plomberie ou la bière au lieu de passer notre temps à rassurer nos proches.
Ce chiffre qui n'avait strictement aucun intérêt il y a dix ans est devenu primordial pour toutes les applications de réseau social.
En effet, un programme qui veut révolutionner l'intraweb doit au moins permettre aux gens d'avoir le nombre de Dunbar en relations.
Après, qu'est-ce qu'on appelle avoir des relations sociales avec quelqu'un ?
Il y a quelques personnes que je reverrais avec plaisir mais avec qui je n'ai plus aucun contact depuis des années, ils ne sont plus dans mon cercle de primates.
Est-ce que Rocco Siffredi peut considérer ses 4000 partenaires comme faisant partie de sa monkeysphere ?
Suffit-il d'envoyer une carte de vœux une fois par an pour compter quelqu'un en ami proche ?
(source)
C'est quoi cette vision d'horreur?!
RépondreSupprimerDe l'image je parle bien evidement.
C'est une pub pour manger des pommes?
Ou un rassemblement de personnes qui prennent des cours de comprehention?
Ecole de journalisme, aux Etats Unis. Si mes souvenirs sont bons, le Mac est quasi obligatoire dans le cadre de la formation.
RépondreSupprimerLe pantacourt aussi on dirait. Ca fait beaucoup...
RépondreSupprimerOn comprend mieux le niveau des "journalistes". Il y a une appli pour charger sur i-thunes des dossiers de presse à copier-coller, c'est ça?
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