lundi 2 avril 2012

Starbucks et le petit village gaulois

La petite nouvelle qui fait du bien au moral. Un article du New-York Times rapporte qu'après 8 années d'implantation en France et 63 succursales ouvertes, EtoileDollars n'arrive toujours pas à dégager de profit chez nous...

En gros, les touristes et les gamins qui trouvent ça branché donnent l'impression qu'il y a du monde dedans, mais les Français préfèrent boire du café.

Et voilà, dans vos faces.

5 commentaires:

  1. Marrant de lire ça en buvant mon café, quelques minutes après être passé devant un Startruc dans lequel j'ai jamais foutu les pieds.

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  2. Des fois, quand je passe devant un Starbuck, je me demande ce que ça doit faire d'être con. Ca doit être agréable quand même.

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  3. Faut quand même leur reconnaître une vertu : tout ces gens qu'ils drainent, on les a pas dans nos cafés avec nous pendant ce temps-là.

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  4. Je sais pas trop, avant Starbuck ils traînaient au McDo.
    Ils cherchent surtout le chauffage et le wi-fi.

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  5. Alors je rentre parce que j'accompagne quelqu'un qui veut me montrer comment c'est. Y'a une queue monstre et malgré six serveurs, ça avance pas. J'ai beau choisir un café au nom séduisant plein de promesses exotiques, le truc foncé et bouillant ne vaut pas grand chose dans son gobelet cartonné. Quand enfin je peux emporter mon plateau, je me fige comme un con devant une salle entière sans une seule place disponible. La moitié pianote en wifi et l'autre moitié nous regarde. Résignés, on attend jusqu'à ce qu'une table se libère : c'est évidemment celle près de la porte des toilettes. Finalement c'est le petit truc carré au citron choisi en guise d'accompagnement qui sauve l'honneur de cette aventure, même si la boulangerie de mon quartier m'offre le même plaisir en trois plus grand et deux fois moins cher sous la forme d'une tarte au citron meringuée. La deuxième fois — oui, y'a eu une deuxième fois, je suis faible — la table n'était pas près des toilettes, mais le reste du scénario était identique. J'essaierai de ne pas y aller une troisième fois.

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