Une problématique importante pour les rédacteurs de l'Animalerie : quels sont les réels risques du slip-surfing ?Steven Perkins est un trader anglais. Après un week-end bien arrosé, il s'installe tranquillement chez lui, fait péter la roteuse et s'amuse un brin avec son PC.
Résultat : deux heures plus tard, le voici tout bourré et heureux propriétaire de 7,125 millions de barils de pétrole, soit environ le tiers de la production annuelle des pays de l'Opep.
A l'ouverture des marchés, le cours du brut grimpe de 2,5 dollars, l'employeur de notre ami Steven s'affole, revend toutes les positions à perte, et le cours dégringole de 4,5 dollars.
Comme quoi, avec un PC, de l'alcool et un slip, on peut affoler la finance mondiale... Pensez-y la prochaine fois, avant de déclencher une catastrophe.
(Source)
"Ils s'usent les nerfs à manipuler des barils virtuels dans un environnement électrique peu propice aux décisions sereines",
RépondreSupprimerc'est beau, on dirait du Albert Londres.
A l'Animalerie, on ne manipule que des barils de bière. Et pas virtuels. C'est moins risqué pour l'économie mondiale.
RépondreSupprimerEn plus si on fait pipi de la bière dans l'océan, y'a pas mort d'écosystème.
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