Ça devait arriver, ça nous pendait au nez : l'Animalerie numérique fait des petits.
Après avoir mis l'Intranet gaulois à genoux en quelques milliers de posts (et la bière à la main), il était temps de viser plus grand.
C'est un stagiaire pub qui a lancé l'idée, cocasse et pleine d'audace : "Si nous visons à court terme la world domination, il faut développer la marque". Pas con.
On a dégagé un placard à balais et donné (enfin, en leasing) un bon vieux 486 VGA à des stagiaires motivés. Et voici donc sous nos yeux ébahis Y a faute, m'sieur l'arbitre !, un bloug tout neuf à la ligne éditoriale efficace : "Puisque vous faites n'importe quoi avec notre belle langue, on s'est senti le droit d'en rajouter une louche".
Je ne peux que vous conseiller d'aller y faire un tour, et d'en parler à vos grand-mères, bien sûr.
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