L'avion d'un ministre en visite en Haute-Marne fin janvier doit repartir en pleine nuit de la base militaire du coin lorsque le pilote se rend compte que la cuve des toilettes est pleine.
Il appelle la base qui promet d'envoyer un mécanicien malgré l'heure tardive et le froid polaire.
30 minutes plus tard, un sergent arrive l'air mal réveillé et grognon.
Il se dirige vers le camion-pompe pour découvrir que celui-ci est resté dehors et est complétement gelé.
Il arrive finalement à trouver une pompe indépendante et l'accroche à un P4 disponible.
Une fois placé sous l'avion, il fait bien attention à respecter la procédure pour ne pas éparpiller le contenu des latrines sur le bel avion tout blanc estampillé "République Française".
Il va donc très lentement, en prenant toutes les précautions lorsque le ministre arrive. Celui-ci semble très énervé.
Le ministre ouvre la fenêtre de sa C6 et s'adresse au militaire :
"- Jeune homme, votre manque de célérité à accomplir cette simple tâche retarde mon avion. En temps de guerre, vous seriez fusillé.
Je ferai donc personnellement une lettre à votre hiérarchie pour que vous soyez puni !"
Le mécanicien lui répond :
"- Monsieur le ministre, avec tout le respect que je vous dois,
je ne suis pas un jeune homme mais un sergent de l'Armée de l'Air Française,
je n'ai pas eu de permission depuis 7 semaines,
je n'ai que deux chevrons, il est 3h du matin,
il fait 15 degrés sous zéro et je suis en train de pomper la merde de votre avion.
Alors expliquez-moi, vous voyez quoi comme punition ?"
Il appelle la base qui promet d'envoyer un mécanicien malgré l'heure tardive et le froid polaire.
30 minutes plus tard, un sergent arrive l'air mal réveillé et grognon.
Il se dirige vers le camion-pompe pour découvrir que celui-ci est resté dehors et est complétement gelé.
Il arrive finalement à trouver une pompe indépendante et l'accroche à un P4 disponible.
Une fois placé sous l'avion, il fait bien attention à respecter la procédure pour ne pas éparpiller le contenu des latrines sur le bel avion tout blanc estampillé "République Française".
Il va donc très lentement, en prenant toutes les précautions lorsque le ministre arrive. Celui-ci semble très énervé.
Le ministre ouvre la fenêtre de sa C6 et s'adresse au militaire :
"- Jeune homme, votre manque de célérité à accomplir cette simple tâche retarde mon avion. En temps de guerre, vous seriez fusillé.
Je ferai donc personnellement une lettre à votre hiérarchie pour que vous soyez puni !"
Le mécanicien lui répond :
"- Monsieur le ministre, avec tout le respect que je vous dois,
je ne suis pas un jeune homme mais un sergent de l'Armée de l'Air Française,
je n'ai pas eu de permission depuis 7 semaines,
je n'ai que deux chevrons, il est 3h du matin,
il fait 15 degrés sous zéro et je suis en train de pomper la merde de votre avion.
Alors expliquez-moi, vous voyez quoi comme punition ?"
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